Ayenaë
 ▌M e s s a g e s : 160
▌I n s c r i p t i o n : 05/10/2009
▌D e v i s e : Le monde c'est de la mousse
▌P u f : Cadoo 09
 |  Sujet: Ayenaë & Cie || Close for answer ||  Sam 24 Oct 2009, 20:43 | |
| Ayenaë -- The Small Angel ► LIKE :;
- Spoiler:
Il y a bien des choses qui sont apprécié ou encore aimé de la petite Ayenaë. Pourtant, il est rare de la voir faire quelque chose qu’elle aime réellement. Car au fond d’elle-même, dans son petit cœur meurtrie par les remords et la tristesse, cette petite merveille aime les jeux complètement fous. Mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est rire. Et oui, cette petite bête froide et trop souvent distante aime les moments ou les rires et la joie sont présents. Mais la honte et les remords sont trop grand en elle pour qu’elle ne ressente l’envie de le démontré aux autres. C’est pour cette raison que les courses folles dans l’herbe hautes, que les combats avec les autres louveteaux de son âge ou encore que les conversations complètement inutiles sont une chose qu’elle à oublier. Elle ne veut se souvenir de ce qu’elle n’aime pas. Pour se souvenir de ce qu’elle à fait.
◄ HATE :;
- Spoiler:
Il y a bien des choses que la petite Ayenaë n’aime pas ou encore des choses qui ne lui plaisent pas particulièrement. Pour commencer, il y a les affreux cauchemars qui l’empêchent de se reposer comme elle le souhaiterait tellement. Mais il y a aussi sa vie depuis sa naissance, aussi courte soit-elle. Pourquoi déteste-t-elle cela allez-vous vous demandez ? C’est assez simple. Elle se remplit de remords à chaque inspiration et se déteste un peu plus à chaque expiration. Comme si elle menait un combat perdu d’avance contre elle-même. La vie n’est pas une chose que la petite loupiotte aime particulièrement, mais en même temps, elle l’apprécie légèrement. Elle sait que ce n’ait pas bien de pensé ainsi, mais elle se trouve chanceuse et elle se hait pour avoir osé penser ainsi. Tout est compliqué dans son petit monde, malheureusement pour vous.
► CARACTER :;
- Spoiler:
Comment pourrais-je logiquement vous décrire le caractère d’une petite bête aussi jeune et aussi naïve du monde extérieur ? Je ne peux pas réellement le dire, mais je vais tout de même faire tout en mon possible pour y arriver. Tout d’abord, décrire un caractère qui est le sien est certainement plus difficile que de décrire celui de quelqu’un d’autre et pourtant, la jeune Ayenaë y arrive plutôt bien. Se décrivant tout d’abord comme calme, elle sait qu’il lui arrive cependant de démontré un peu trop de patience et de simplicité. Ce qui est plutôt contradictoire selon-elle car son caractère est bien loin d’être relié à la simplicité. Bien qu’elle soit d’un calme assez impressionnant, il lui arrive, comme elle le dit si bien elle-même, de passé par des moments un peu plus triste, voir même dépressive. Ayenaë n’est certainement pas la plus enjoué ni même la plus cachotière, mais ce qu’elle n’est pas et ne sera certainement jamais, c’est bien joueuse. Non, il est particulièrement rare de la voir s’adonner à un jeu quelconque. Pour elle, ce n’est qu’une simple perte de temps. Il est vrai qu’à son âge normalement, on trottine auprès de sa mère et on s’amuse à se battre avec un frère ou une sœur. Mais pour Aye, la vie est loin d’être un jeu ou encore une partie de plaisir. Non. La vie c’est du sérieux et on peut facilement remarquer cette façon de pensé avec cette petite. Intelligente et posé, Ayenaë démontre une très grande maturité personnelle, chose qui est normalement rare de voir chez un animal aussi jeune. Non pas seulement naïve sur les bords, cette jeune boule de poil est également d’une grande curiosité mais aussi d’une bien grande sagesse. Si elle en venait à mettre sa vie en danger de part la faute de sa curiosité, elle serait très bien capable de se punir seule. Cette petite loupiotte n’a pas une bien grande estime d’elle-même et c’est parfois triste à voir. Oreille basse et posture peu fiable, Ayenaë n’est pas bien solide sur ses pattes branlantes. C’est peut-être ce qui la pousse à s’isoler des autres. La solitude est la seule amie qui ne se moque pas de ses trop nombreuses erreurs. C’est une chose qu’elle n’apprécie peut-être pas, mais elle préfère de loin se privée elle plutôt que d’obligé sa présence si peu plaisante aux autres.
◄ STORY :;
- Spoiler:
Chapitre 0 – La rencontre
La vie peut parfois prendre des virages impressionnant et ce petit changement peut parfois chambouler à jamais une vie entière de travail et d’espérance. C’est ce qui est arrivé à Jekyll et Hydroma lorsque, durant un combat les confrontant, eux et leurs clans respectifs, ils se retrouvèrent, combattant l’un contre l’autre un peu à l’écart. C’était comme si la vie avait fait en sorte que leurs chemins se croisent en cette nuit de pleine lune. La forêt était d’une clarté visiblement troublante. Le combat était sanglant et les blessures nombreuses. Mais chacun semblaient décidés de faire de l’autre sa proie. Il en fut ainsi jusqu’à ce que la jeune Hydroma s’effondre d’épuisement dans les feuilles mortes et les branches cassées. Le souffle court et le corps brûlant de douleur, la jeune femelle complètement noir posa son regard bleuté sur Jekyll, ce mâle impressionnant de par sa stature, mais également de part sa beauté sauvage. Il la regardait, les crocs bien en vue. Pourtant, il n’attaquait pas, il ne l’achevait pas comme elle l’avait si souvent vu faire de part le passé. Étant une espionne de haut niveau et lui un tueur particulièrement violent, elle l’avait souvent détaillé de loin, le regardant combattre en sachant très bien qu’un jour, elle serait devant lui à faire la même chose que les autres. Risqué sa vie pour lui enlevé la sienne. Ce fut donc dans un silence des plus complets que Jekyll s’approcha de la jeune louve, il allait lui serrer la gorge quand quelque chose lui murmura qu’il le regretterait certainement un jour. Ce fut donc ainsi que Hydroma fut épargné.
Chapitre 1 – Les chaleurs
Les rencontres entre Jekyll et Hydroma semblaient de plus en plus voué à quelque chose de bien précis. Car les dispute étaient de moins en moins douloureuses et parfois même, les deux loups se montraient des signes d’attirance. Ils se cajolaient, se léchaient, se frottaient avec une douceur visible même de loin. Ce fut le jour ou Hydroma eut ses chaleurs que tout fut confirmer entre eux. Car après un combat léger comme le vent, la jeune femelle se laissa saillir par le mâle. L’acte ne dura pas très longtemps, mais il fut tout de même accomplit. Le loup et la louve devait maintenant retourner à leur clan respectif. Car si le dominant des clans découvraient ce que Jekyll et Hydroma venait de faire, c’était le bannissement assuré. Alors, après un détour par la rivière pour nettoyer l’odeur de l’autre, les deux loups se quittèrent en silence, les yeux fixés au sol pour ne pas avoir envie de regarder derrière.
Chapitre 2 – La naissance
Malgré les protestations du dominant du clan de la jeune louve, le fait qu’elle soit portante ne fut pas réellement un problème. Il se dit qu’il l’avait saillie mais qu’il n’en avait plus souvenir. Les jours passaient, suivis de très près par les semaines. À chaque jour, la jeune Hydroma devenait un peu plus ronde. Personne ne savaient si elle aurait beaucoup de louveteaux et tous, y comprit le dominant, avaient hâtes de le découvrir. Malgré son statut de femelle portante, la jeune louve continuait de se promener seule dans la forêt. Elle partait parfois une demi-journée complète sans que personne ne puisse réellement savoir ce qu’elle faisait. Mais elle ne rentrait jamais plus tard que le couché du soleil. Elle revenait au clan un doux sourire coller sur le visage. Bientôt approcha le jour de la naissance des petits. Ce fut à partir de se moment la que la jeune femelle cessa de se promener comme avant. Le stress la gardait dans la grotte ou elle était accompagnée des autres femelles du clan qui allaient, comme elle, bientôt mettre bas. Il eut deux mises basses avant la sienne. Ce fut les contractions qui eurent raison de la jeune mère. Elle se réveilla en remarquant qu’elle était humide. Ce fut à se moment qu’elle comprit que ses enfants allaient bientôt venir au monde. Un grand stress la saisit à cet instant bien précis. Et si les louveteaux étaient le portrait craché de leur père, le dominant verrait bien qu’elle les avait trahis pour un mâle différent et elle serait sévèrement puni. Lorsque le premier petit vint enfin au monde, il était d’un noir profond, un petit mâle. Au moment exact ou Hydroma posa son regard sur le petit, elle fut soulagée. La même couleur que le dominant, il y avait de quoi être fier. Après avoir minutieusement nettoyé son rejeton, elle s’étendit de nouveau, assaillit par les contractions douloureuses. Le deuxième petit était d’un blanc immaculé, il s’agissait d’une petite femelle. De nouveau, Hydroma se courba pour la nettoyer. Lorsque se fut fait, une violente contraction la saisit de court, lui coupant le souffle et lui laissant échapper un pénible gémissement de douleur. Respirant par petite secousse, la jeune louve sentait que le petit arriverait bientôt. Elle n’avait pas tort.
Deux minutes à peine eurent le temps de défilé avant qu’une petite boule brune et beige ne tombe au sol. Immédiatement, Hydroma entreprit de la nettoyer et de la faire respirer. Il s’agissait la d’une autre femelle. Après le nettoyage, Hydroma sentit qu’elle expulsait quelque chose d’autre. Elle mit moins de cinq minutes à se défaire du placenta complet. Alors qu’une autre louve le faisait disparaitre, Hydroma se couchait doucement la tête au sol, savourant son nouveau statut de mère.
Chapitre 3 – Les noms
Les noms étaient un moment souvent difficiles et parsemé de querelles. Mais le jour ou la jeune louve eut pour tâche de nommé ses trois petits louveteaux, elle le fit sans réellement de problème et en plus les noms semblaient préparé. Mais lorsqu’on lui demandait d’où lui venait son inspiration, elle répondait seulement qu’elle avait toujours voulu avoir des louveteaux portant se genre de noms. Le jeune mâle, qui était plutôt téméraire et joueur fut nommé ; Astral Conception. Il s’agissait la d’une note particulière au soleil et à la lune. Mais c’était un secret bien caché de la jeune louve. La petite femelle blanche, qui était plutôt paresseuse et confortable fut nommée à son tour ; Goodnight Spiral. Un petit clin d’œil au moment du coucher, la ou l’on disait bonne nuit à tous. La petite dernière quand à elle n’avait pas réellement de caractère bien visible fut nommée également ; Ayenaë. Ce nom était certainement le plus apprécié de tous. Mais aucun loup de la meute ne savait que se nom avait appartenu à l’ancêtre de Jekyll.
Chapitre 4 – La découverte
Les louveteaux grandissaient lentement alors que le dominant du clan de Hydroma jubilaient. Il y avait eut cinq naissances de plus dans son clan que dans celui de son ennemi. Il y avait une chose qu’il ne savait cependant pas encore. Les petits d’Hydroma n’étant pas les siens, il n’y avait que deux petits de plus. Ce fut cependant dans un mauvais moment que le dominant fut mis au courant de ce petit détail. Lorsqu’il s’en prit à la nouvelle mère, elle lui fit comme réponse qu’elle n’avait pas voulu lui dire tout simplement car ce n’était pas une saillie qu’elle avait voulu. Mais le dominant ne semblait pas la croire. Il s’en prit une nouvelle fois à Hydroma alors que les louveteaux n’avaient qu’un mois et demi. Ils étaient vigoureux et en pleine santé, mais il y avait quelque chose qui clochait bien. Les petits pouvaient voir, entendre et surtout comprendre ce qui se passait. La bataille contre leurs mère se passaient sous leur regard effrayé au moment ou un mâle plutôt imposant jaillit de nul par, renversant le dominant qui était sur le point de tué la louve. Il s’agissait de nul autre que Jekyll lui-même. Il n’était pas fou. Il savait très bien que le dominant finirait par découvrir ce secret et il s’était promis de protéger ses petits et la jeune louve. Ce fut donc ainsi que la vie de la petite Ayenaë fut gâché.
Chapitre 5 – Un combat perdu d’avance
Les coups volaient bas et les blessures étaient beaucoup plus profondes que d’ordinaire. Pourtant, ni Jekyll ni le dominant ne semblaient vouloir abandonner le combat. Ils s’arrachaient le poil avec une violence inouï. Alors que le père des petits mettaient sa vie en jeu pour sauver sa famille, la jeune louve prenait ses petits et quittaient le clan. Elle ne souhaitait qu’une seule chose, les cachés et ainsi sauvé leurs vie. Les minutes passaient en silence alors qu’elle avait mit les petits en lieux sur. Elle avait fait le choix de les mettre à des endroits différents pour augmenter leur chance de survivre. Alors qu’elle écoutait silencieusement les bruits provenant du clan, Hydroma finit par s’inquiété. Elle n’entendait plus rien et Jekyll ne revenaient pas. Assise silencieuse, elle finit par entendre des bruits de pas et ce fut avec horreur qu’elle vit apparaitre son dominant. Couchant les oreilles, elle comprit alors que Jekyll avait perdu le combat. Elle entreprit alors à son tour ce que celui qu’elle aimait n’avait pas réussit. Elle entreprit le combat contre son dominant. Puisqu’il était déjà blesser, il ne put gagnez le combat, mais il réussit tout de même à blesser mortellement la jeune femelle. Elle regarda son dominant mourir d’asphyxie et ce fut suite à cela qu’elle se sentit fatigué. Elle s’étendit au sol doucement et s’assoupit sans réellement le remarqué. C’était la dernière fois qu’elle voyait le soleil du jour. Les louveteaux, bien cachés sous les broussailles observaient la scène avec horreur. Leur mère venait de laisser sa vie pour eux et ils ne savaient pas du tout comment agir à présent. Le jeune mâle noir et la petite femelle blanche décidèrent de quitté leurs cachettes en silence pour s’approcher de leur mère, maintenant sans vie.
Chapitre 6 – La survie malgré la faiblesse
La petite Ayenaë, couché sous les broussailles, semblait sur le point de quitté son petit nid, mais elle changea d’idée. Ce fut rapidement qu’elle se rendit compte qu’elle avait bien fait de rester à couvert. Deux coyotes arrivèrent et ils tuèrent son frère et sa sœur pour manger. Silencieuse malgré les larmes qui glissaient lentement sur ses joues, Ayenaë ne pouvait faire autre chose que regarder. Lorsque les coyotes eurent disparut, la jeune femelle ne quitta pas son nid immédiatement. Elle restait coucher, silencieuse, à pleuré la mort de tout ceux qui faisait partie de sa vie. Elle regardait le corps de sa mère, ensanglantés et immobile. Elle fit ensuite glissée son regard sur son frère et sa sœur, maintenant sans vie. Un hoquet se fit entendre accidentellement au moment ou un loup particulièrement imposant fit son apparition. Il s’agissait de nul autre que Jekyll. Il s’approcha de sa fille pour la prendre doucement entre ses crocs. Il boitait beaucoup et semblait sur le point de perdre conscience, mais il avançait tout de même. Il entreprit de sevré sa fille unique et il s’occupa d’elle comme un véritable père. Mais un jour, alors qu’Ayenaë se réveillait d’une nuit de sommeil, elle découvrit son père qui la regardait en silence. Sa respiration était rauque et la douleur était visible sur son visage normalement dur. Il lui murmura qu’elle était assez grande maintenant et que si elle voulait survivre, elle devrait se rendre sur les terres de Black Wolf qui se trouvait un peu plus au nord de l’endroit ou ils se trouvaient en cet instant. Pourtant, la jeune Ayenaë ne quitta pas son père immédiatement. Elle resta avec lui jusqu'à ce qu’il ne respire plus et que ses muscles se soient détendu. Elle murmura doucement à son père qu’elle l’aimait et elle quitta l’endroit.
Chapitre 7 – L’arrivé sur les terres de Black Wolf
Ce fut en moins de trois jours que la petite loupiotte se rendit sur les terres de Black Wolf. Elle était épuisée et avait faim. Pourtant, elle ne prit pas la chance de pénétré les terres immédiatement. Elle mit deux jours avant de décider de prendre place en cet endroit. Elle pénétra donc les terres à la nuit tombé, faible et affamé.
 Mes Topics  [ Sera dans l'autre Poste =D ]
Dernière édition par Ayenaë le Mar 27 Oct 2009, 03:57, édité 4 fois | |
|
Accueil 
